Votre invitation au Salon International d’Art Contemporain de Mulhouse !

Si vous êtes curieuse, curieux, rêveur, rêveuse, néophyte, collectionneuse ou collectionneur, spécialiste en art, ou tout à la fois, je vous invite à prendre une grande bouffée d’oxygène au cœur de ce salon, vitrine de ce qu'est aujourd’hui l’art dans nos sociétés modernes, grand rendez-vous d’artistes et de galeries.

Je vous y attends sur mon stand où vous pourrez découvrir quelle est ma démarche créative, et où vous verrez quelques-unes de mes dernières peintures augmentées numériquement, mais aussi mes dernières aquarelles spatiales, interactives et dématérialisées.

Alors, voici votre invitation, elle vous permettra d’y entrer gratuitement !

Il vous suffit pour cela de cliquer sur le bouton ci-dessous, suivre le lien, et mettre l’invitation à votre nom pour la télécharger (n’hésitez pas à en faire profiter vos amis - es -) :

Quant aux autres nouvelles, aux projets des salons et expositions à venir, au planning des futurs stages 2022 (avec un retour en Andalousie des plus romantiques - pour continuer notre connaissance picturale de la péninsule Ibérique -, et plein d'autres surprises), je vous en reparlerai dans les prochains billets.

13 Responses

  1. Zurcher
    | Répondre

    Merci pour vos billets « doux » que j’apprécie beaucoup.
    Impossible pour moi de venir à Mulhouse.
    Cordialement,
    Elisa

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Ne vous en faites pas, Élisa, il y aura bien un jour où j’exposerai dans votre région. En attendant, mes billets de blog et newsletter vous permettront de suivre ce que je fais, et quand il y aura quelque chose d’intéressant je vous en ferai profiter !

  2. Françoise et Pierre rouanet
    | Répondre

    Merci cher Alain nous ne sommes en mesure d être présents

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Pas de soucis, Françoise, c’est bien évident, ce qui compte c’est que vous soyez au courant, et qu’on ne se perde pas de vue, une manière de dire que je ne vous oublie.

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Pas de soucis, Françoise, c’est bien évident, ce qui compte c’est que vous soyez au courant, et qu’on ne se perde pas de vue, une manière de dire que je ne vous oublie.

  3. Mary Anne-Marie
    | Répondre

    Quelle énergie Alain ! Tu n’arrêtes pas ! je suis remplie d’admiration et souhaite de tout coeur que tout cela t’apporte la reconnaissance que tu mérites …Bises

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Merci, Anne-Marie. Tu sais, même s’il n’y a pas le retour « grand public » attendu dans d’autres domaines pour ce genre de choses (parce que les gens qui ont déjà bien du mal à concevoir l’art en WEB 2.0 sont encore loin de l’imaginer en WEB 3), c’est déjà formidable que les Geeks et quelques spécialistes éclairés me soutiennent et m’encouragent (c’est d’ailleurs une de mes principales toiles « augmentée » qui va bientôt rejoindre la collection permanente du MAMC de Cordes, c’est déjà un début, j’en reparlerai plus tard)…

  4. micheline vaudenay
    | Répondre

    bonjour Alain
    Pour une fois tu « montes » dans la moitié nord de la France !! Bravo et merci. Mais, pour moi ce n’est pas encore assez haut. Donc encore une fois je rêverai devant tes photos. Dans le nord (Valenciennes, pour mémoire ou Cambrai), nous t’attendons. Donc tu continues avec tes ajouts de documents virtuels. Que je suis en admiration devant ton imagination !!! et ton allant !!! Quand je lis un article de ton blog, je me sens tout de suite pleine d’énergie ! Une prière : fais en souvent ! J’ai besoin d’énergies en ce moment !!
    En tout cas, sérieusement, bravo pour tes travaux. Ils finiront par se faire accepter par le plus grand nombre. Nous, en tout cas, nous avons confiance en toi. Continue !

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Merci à toi aussi, Micheline. Rien n’est impossible dans l’avenir tant que j’aurai assez de forces et de moral pour continuer de promouvoir et défendre mes idées et leur produit. D’autant plus que j’ai un souvenir merveilleux d’une exposition que j’avais faite en compagnie de mon père à La Grande Synthe dans les années 80. Pour le reste je ne vous oublie pas (et donc, je ne t’oublie pas), je publierai prochainement le début d’une nouvelle grande aventure qui, en surfant sur les possibilités de la créativité humaine décuplée par l’Intelligence Artificielle, vous permettra de voyager fictivement avec moi dans des atmosphères de découverte, d’évasion et de bonheur simple mais profond, qui devraient constituer une bonne dose d’optimisme ravageur !

  5. Denise Poirier
    | Répondre

    Comme j’aimerais aller voir cette exposition mais je vis au Québec, c’est vraiment trop loin pour voir une exposition.

    Je suis certaine que vous nous ferez voir une grande partie de l’exposition plus tard et vous en remercie. Ce ne sera pas comme être là mais je vais beaucoup apprécié j’en suis certaine.

    Bonne exposition,

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Merci pour votre commentaire, Denise, et ne vous en faites pas, je continuerai de vous faire partager mon émerveillement devant toutes les beautés du monde et de ce que la créativité humaine peut nous amener de meilleur, ce qui ne peut que faire du bien au moral dans le monde complexe que nous vivons !

  6. Daniel Pascot
    | Répondre

    Hier et aujourd’hui, j’ai eu la chance d’aider Alain à monter son stand. Première constatation, « c’est de la job », beaucoup de choses à penser et à faire, des choses prévues et d’autres non, plus ou moins amusantes, on commence la veille de 20 heures à 23 heures et le lendemain de 9 heures à 16 heures avec peu de repos. Bref, on est bien content d’être prêt quand les visiteurs arrivent. Ça, c’est pour l’anecdote et c’est un plaisir d’aider Alain, même si avouons-le, il est parfois un peu, disons poliment désorganisé, mais ça fait le charme d’un artiste, ceux qui ont suivi des stages avec lui me comprendront et ont envie de recommencer.

    Passons maintenant aux choses sérieuses, ce que l’on a l’occasion de découvrir sur son stand est unique et d’un niveau artistique certain. C’est lui qui fait l’usage le plus avancé des technologies numériques par rapport à tous les exposants (environ 200). Mais, on perçoit immédiatement la qualité technique de ses réalisations et leur variété, surtout en ce qui concerne les sujets : on a l’impression de la production de 10 artistes alors que dans bien des stands, on voit une production plus ou moins en série de la même œuvre. Et cette variété n’est pas celle qui résulte d’une longue carrière (Alain pourrait être à la retraite depuis des années), ces œuvres n’ont que quelques années.

    Mais voilà, à trop insister sur la technologie, on passe à côté de l’essentiel, notamment quand la démo se passe mal (en raison des difficultés de liaison), ou quand les gens, même s’ils utilisent longuement tous les jours leurs téléphones dans des réseaux sociaux, sont quasiment des illettrés technologiques. Ainsi, ils sont soit rebutés, soit admiratifs de la « prouesse technologique » sans vraiment percevoir ce qu’Alain a réussi à en faire.

    Et pourtant, du moins je trouve, ce qu’il a réussi est génial : il a réussi à intégrer le monde physique des œuvres d’art classiques, un tableau original, une version dérivée numérotée, ou une version imprimée à large diffusion, avec le monde virtuel, un fichier numérique accessible par une application banalisée (via un navigateur ou une application téléchargeable depuis les magasins de logiciel des téléphones). Oubliez l’intelligence artificielle, les NFT et toutes ces choses plus ou moins nouvelles qui font le buzz, il s’agit ici de véritable démarche, travail, réalisation artistique par un artiste qui maîtrise des technologies traditionnelles (celles qu’utilisent tous les autres artistes présents au salon) mais aussi des logiciels gratuits ou pas et pas toujours de bonne qualité et mal documentés (j’admire ce qu’il réussit d’en tirer).

    Les œuvres que l’on a l’occasion d’admirer, sont complexes, elles sont le résultat d’une démarche humaniste et artistique qui lui a pris du temps. Quand on les regarde, on peut les aimer ou pas, mais même si l’on ressent une émotion, perçoit le travail derrière l’œuvre, on ne la comprend pas vraiment et c’est dommage. C’est là qu’intervient le document numérique associé à l’œuvre, il va nous raconter le tableau, à quoi a pensé Alain, ce que voulait exprimer, comment l’œuvre s’enracine dans un long passé artistique et humaniste.

    Il y a 2 manières d’aborder ces œuvres, en mettant en avant la nouveauté et la prouesse artistique, mais voila les gens soient s’écartent poliment, ce n’est pas pour eux, soit ils admirent, félicitent l’artiste, l’encouragent, mais ils repartent sans rien acheter et c’est un problème, l’expo coute cher et l’artiste doit vivre. Et mettre en avant l’accès public et des exemples gratuits n’améliore pas les choses (le logiciel libre a permis à nos téléphones d’être aussi puissants et sophistiqués, mais c’est une autre histoire).

    Par contre, si l’on présente l’œuvre à quelqu’un qui l’apprécie, alors on peut lui montrer comment la partie numérique (réalité augmentée ou pas) la complète et en augmente la valeur (de l’œuvre, pas de la réalité), en lui permettant d’accéder à la pensée de l’artiste. Alors, il appréciera la dimension géniale de l’apport d’Alain. Il comprendra que l’œuvre, c’est l’objet physique AVEC le contenu virtuel, l’un ne va pas sans l’autre, l’objet numérique éclaire l’objet physique, mais n’est qu’anecdotique sans l’œuvre physique. Pensez à la fable de l’aveugle et du paralytique (je ne sais pas quel objet est l’aveugle ou le paralytique, mais la métaphore aide à comprendre).

    On n’a plus de problème avec les droits ou pas d’accès au contenu numérique, ils sont liés au contenu physique : on accède au contenu numérique quand on possède l’œuvre physique :
    – l’acheteur de l’œuvre originale bien sûr, c’est le plus cher, mais il dispose de l’œuvre unique comme pour toute œuvre artistique
    – l’acheteur d’une reproduction limitée aussi, mais il a une belle reproduction en quantité limitée qui assure la persistance de sa valeur
    – l’acheteur d’une carte postale aussi (c’est une super idée de petit cadeau original)
    Tous peuvent faire une copie de l’image pour accéder au fichier numérique, mais ils n’ont pas d’original, je ne pense pas que ce soit un problème, cela devient une pub gratuite!

    Et ce n’est pas nouveau, les peintres classiques avaient leurs œuvres visibles publiquement et ils faisaient des reproductions et des tirages sous diverses formes de leurs œuvres et en tiraient un revenu important. Ce qui est nouveau ici, c’est la réussite de l’usage de la technologie numérique pour « augmenter » la valeur artistique de l’œuvre physique, non pas économiquement, mais conceptuellement.

    BRAVO Alain, tu nous montres que l’expérience n’exclue pas la créativité et l’évolution, parfois au contraire. Si vous le pouvez, ne manquez pas son exposition.

    • Alain-MARC
      | Répondre

      Merci pour ton analyse, Daniel, il est vrai que tu as découvert l’envers du décor, la partie que le public ne voit pas, surtout pendant plusieurs jours, merci d’être venu me donner un coup de main, tu as vu combien participer à ce genre de salon est une aventure bien plus complexe et fatigante que la simple participation à un petit salon carnet de voyage où un stand de seulement quelques m2 suffit !

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